En 2035, il y aura plus de 10 millions de personnes qui auront plus de 75 ans en France. Et parmi ces 10 millions, 2 millions auront des troubles cognitifs. Il s’agit donc d’un vrai enjeu de société. Malheureusement, les réponses qu’on apporte sont non satisfaisantes parce que les personnes n’ont pas envie d’aller en maison de retraite ou en tous les cas, quand elles peuvent rester à domicile, elles le font. Heureusement, des structures d’aide à domicile comme Vitalliance, Adhap ou Azae sont là pour leur permettre de rester chez elles en toute sécurité.
Ce que nous en pensons :
Vitalliance : avis très très positif. Structure très professionnelle avec une grande spécificité pour les personnes à mobilité réduite, en situation de handicap ou de grand âge. Structure qui mise sur l’innovation technologique et de service avec leur projet Vitalliance évasion par exemple.
Adhap : bon avis, structure similaire à la précédent, le côté innovation en moins.
Azae : avis mitigé, plus une structure d’aides ménagères. Conviendra parfaitement pour de l’aide simple et classique.
Les maisons de retraite génèrent beaucoup de souffrance. C’est aussi un métier difficile pour le personnel soignant. D’autant plus qu’il n’y a pas assez de places disponibles pour tout le monde. Donc, il y a un enjeu de faire un accompagnement de qualité à domicile. Mais force est de constater qu’il y a une vision mécanique du métier. Les auxiliaires de vie ne sont pas des techniciens de la toilette ou de l’aide au repas, mais sont de véritables professionnels de l’empathie.
Auxiliaire de vie, un métier prometteur
Aujourd’hui, il existe 600 000 auxiliaires de vie en France. C’est le métier qui va créer le plus d’emplois dans les prochaines années. Généralement, ceux et celles qui se tournent vers cette profession ont beaucoup d’empathie. Ce sont des professionnels qui ont envie d’aller vers les personnes fragiles qui ont besoin d’aide, de partager un moment avec elles et de leur apporter du réconfort.
Bien choisir un prestataire
Parce qu’il est difficile de confier un parent ou une personne qui nous est chère à un inconnu pour qu’il / elle s’en occupe, surtout lorsque ce proche est fragilisé. Il va sans dire que les critères de choix d’un prestataire doivent être étudiés minutieusement. Pour cela, il faut demander conseil aux médecins ou à une assistante sociale pour s’orienter vers le bon auxiliaire de vie ou vers le bon prestataire