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La sexualité estudiantine

La sexualité estudiantine

Les IST (infections sexuellement transmissibles) sont généralement causées par des agents pathogènes. L’une des IST qui font rage dans le monde aujourd’hui n’est autre que le VIH/sida. Une maladie banalisée surtout par les étudiants. Loin d’être la seule maladie, vous pouvez également recenser les herpès génitaux et plein d’autres infections.

Étudiants et sexualité

Beaucoup d’étudiants et étudiantes découvrent le sexe, à leur entrée à l’université. Toutefois, d’après un sondage, les étudiantes vont souvent au sexe contre leur gré. Cela s’explique par une différence d’origine sociale ou par un suivisme très accru.

Les risques de contamination aux maladies et infections sexuellement transmissibles

Les risques de contamination aux maladies et infections sexuellement transmissibles sont banalisés surtout par les étudiants. Alors que, plus de la moitié des étudiants prétendent utiliser des préservatifs à chacun de leurs rapports sexuels, le quart par contre déclare ne pas en utiliser.

Par ailleurs, dans le quart restant, une partie prétend ne pas savoir où faire le test. L’autre partie affirme ne pas vouloir savoir s’ils sont infectés ou pas.

Les dangers des IST

Les IST présentent des dangers non seulement sur la santé, mais également sur la fertilité et la grossesse.

Sur la santé

Les IST sont responsables de plusieurs désagréments qui impactent la santé. En effet, elles peuvent vous faire contracter des infections comme la syphilis et l’herpès génital. Ces deux infections sont connues pour augmenter le risque de contraction du VIH/sida. Elles sont aussi responsables de l’hépatite B, une maladie qui favorise la naissance du cancer au niveau du foie par exemple.

Sur la fertilité et la grossesse

À ce niveau, vous pouvez par exemple vous faire infecter par la chlamydiose génitale. Cette infection peut conduire à une stérilité si elle n’est pas traitée à temps. De plus, sans suivi, la chlamydiose peut être transmise d’une mère à sa progéniture.

Quelles sont les pratiques préventives contre ces risques ?

Selon l’avis de LMDE, beaucoup d’étudiantes, lors de leur premier rapport, se protègent avec des préservatifs et d’autres mesures préventives pour éviter surtout les risques de grossesses. Les étudiants quant à eux ne se font pas suivre médicalement, ce qui augmente les risques d’infections. Il est donc recommandé aux hommes comme aux femmes de faire des dépistages réguliers. Cela permettrait également d’identifier des infections qui le plus souvent ne montrent pas de symptômes.

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