Le hockey comme vous le connaissez se joue avec une crosse et un palet. Cependant, la manière de jouer au hockey n’est pas la même dans le monde. Une nette différence a été remarquée entre le hockey européen qui se base sur la technique et la vision de jeu et le hockey américain qui se base plus sur la puissance et l’agressivité. Le point sur ces deux types de hockey.
Le hockey sur glace européen
Selon le patron des Ducs d’Angers, monsieur Michael Juret, le hockey européen est un hockey de créativité. En effet, le hockey européen combine plusieurs atouts ce qui fait qu’il est très intéressant à regarder. Comme atouts, recensez essentiellement :
- Une grande finesse des joueurs ;
- Un jeu très collectif ;
- Une bonne circulation du palet, etc.
Les joueurs du hockey européen apprennent la notion de timing, de rapidité, de maîtrise et d’habileté. Lorsqu’ils jouent, ces joueurs ont un contrôle total sur le palet. Ces capacités qu’ont les joueurs leur donnent la capacité de facilement éliminer vis-à-vis.
Le hockey sur glace américain
Le hockey sur glace américain est tout le contraire de celui européen surtout dans le jeu. Il met en avant également plusieurs atouts au nombre desquelles, vous pouvez recensez :
- Une grande puissance ;
- De l’individualisme ;
- Un fort impact dans le jeu, etc.
Les joueurs de hockey apprennent comment conduire le palet ainsi que comment mettre de l’intensité dans le jeu. De ce fait, ils cherchent à constamment marquer donc sont en permanence en train de se créer des occasions.
Par ailleurs, selon un sondage, la plupart des amoureux du hockey sur glace préfèrent regarder des matchs de hockey sur glace européen que ceux américains. Bien que celui européen a vu le jour de celui américain, beaucoup déplorent l’agressivité excessive se retrouvant dans le jeu de cette dernière.
Cette différence de jeu se remarque également dans les grandes compétitions. Au cours de ces compétitions, le jeu européen a tendance à prendre l’ascendant sur celui américain, car la surface de jeu est grande et permet donc aux Européens de faire leur jeu.